Les saisons des Bulls se suivent et ne se ressemblent pas.
Après avoir récupérer un titre de Golden, leur nouveau passage dans la ligue majeure est une nouvelle catastrophe. Au baromètre, la météo est à l'orage, ô dessespoir, ils ne comptent toujours encore aucune victoire et se pavanent à la dernière place du classement. Le platine n’est donc pas le métal favori des viennois. Et le match contre les Atomes de Mendeleiev en fut la preuve évidente. Ces derniers par contre, peuvent dorénavant lorgner sur leur maintien, en engrangeant une deuxième victoire.
Le cœur n’y est pas dans cette équipe. Il ne tient pas les sensations fortes. Mais la maladie des Bulls, elle est bien connue, après s’être gavés, ils finissent pas recracher. Diagnostic, c’est une Bullimie ... En autant de saisons, personne n’a jamais su comment soigner cette pathétique pathologie viennoise. A l'instar des cycles des saisons, l'automne viennois tombe après l'été. L'hivers risque même d'étre atomique.
Les matchs se suivent et ne se ressemblent pas. Il manque une certaine verve de conquérant. Mal affûtées. Voilà ce qui décrit les cornes du taureau : la stratégie. Le staff technique s’enfonce dans les mauvais choix.
Les jeunes ne sont pas assez costauds, les vieux piliers de la franchise attendent de devenir ceux du Bars des Vieux Amis d’en face. Hohenrainer ne sait plus comment mener son équipe au sommet. Alors quel(s) remède(s) de cheval doit-on administrer au quadrupède à corne ? (un comble je vous dis !).
Voilà ce qui pourrait se passer : la descente coup sur coup de la Golden aux affres de la Silver, qui n’est pas l’Enfer. En attendant, des surprises de taille pourraient venir nourrir les papelards en tout genre. Déjà les rumeurs circulent parmi les bookmakers autrichiens…
Une affaire à suivre, et plein de révélations en perspective, donc.