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  • Une Golden en roue libre ou la theorie des cycles

     

    "I'am singing in the rain,...

     

    just singing in the rain...

     

    la la lalala

     

    la la lalala"

     

     

     

    Voilà ce qu'on entendu au fond du couloir du 2eme étage du bureau des Hard Bulls. Visiblement, pendant que certains chantent, d'autres déchantent. 4 défaites consécutives suivi d'un 1 nul et de deux victoires chanceuses. Des joueurs en fin de cycle qu'il faudrait recycler. Aucun souffle nouveau ne vient du numéro 72 en face du stade, siège du centre de formation.

     

    Durant l'entre-saison, les vétérans ont montré qu'ils étaient mieux armés que nos gladiateurs actuels, même si leur coupe a montré sur la fin un certain seuil de fébrilité et surtout de lassitude. Tiens c'est peut-être là que le bât blesse. La réponse est simple, la franchise des Bulls est en fin de cycle. Vous allez dire, la franchise n'est pas encore reléguée. Oui tant mieux, grâce à des choix tactiques classiques, contre des équipes plus faibles ou à défaut dont le jeu est tout aussi formaté que celui des Bulls.

     

    Stratégiquement et tactiquement, les gladiateurs et l'entraineur Buhert piétinent. La franchise a ordonné en début de saison un changement radical de son jeu. Sauf que, ce n'est pas rentré dans leurs cerveaux. A quand des Raging Bulls, nom d'une bouse ?! Virez-nous ces vieux schnoques, changez-moi d'entraîneur et travaillez un peu vos stratégies. Voilà ce qu'aujourd`hui chantent les supporteurs, voilà pourquoi ils boycottent les tribunes. Une cure de jouvence serait plus que nécessaire. Du sang nouveau serait le bien venu aussi. Et puis un nouvel entraîneur aussi.

     

    Les Bulls sont à nouveau en fin de cycle. Premier cycle, celui de la génération Fé Bunga (premier titre), deuxième cycle, l'ère Goldman-De Jong, fort moyen du reste. Le troisième cycle, fût, selon un théorème chinois, « un long chemin en avant semé d’embûches nauséabondes », avec l'ascension de Mario Baroux, le blitzeur le plus prolifique des Bulls, a qui ne manquera qu'un titre. Le quatrième cycle est plus court. Construit sur des bases solides, il est mené par Friedrich Hohenrainer, dont l'apogée est digne d'un roman,  "20 ans après" (A. Dumas). Néanmoins, la chute est terrible. Il n’y a plus personne. Le fond n’est plus que lie. Il est donc fort a parier que le prochain cycle sera ascendant et que au plus tard dans deux saisons, les Bulls auront fort a faire en Silver.

     

    Il ne manque plus qu'à l'équipe de trouver les moyens de ses ambitions. La seule chose qui semble aujourd'hui ascendante est le compte en banque de la Franchise. Ce n'est pas dur de trouver ou investir, nom d'une bouse !? Remarquez, comme dirait un normand, « p'têt ben que si ».