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  • Les tirailleurs sénégalais font leur show

    le tournoi des vétérans fait son plein et cela aurait été dommage que d'autres anciens ne cherchent pas à profiter de cette belle publicité. Enfin, les voilà! Berlin Est et Milwaukee n'ont plus hésités longtemps et entrent enfin en jeu.

    En attendant, Austin Ekeji préparait a coacher Sadagian, Van de Waart et les Keepers face aux anciens taureaux. Herminator a proposé d'innover et Bunga a fait une entrée magnifique devant ses fans d'autrefois. Visiblement les autrichiens ont fait le déplacement mais aussi toute la tribu Bunga. Puis avec l'arrivée sur le terrain de Katika, ce sont aussi les locaux qui se sont mis a applaudir le vétéran viennois qui, ne l'oublions pas, a été formé a Zinguinchor. 

    A l’applaudimètre, il n'y a pas photo, les autrichiens ne peuvent être plus fort que les Keepers, dans une IpipAgora toute dévouée. A tel point, que l'arbitre a dû retarder de 10 minutes le début du match, afin que les joueurs des deux camps puissent admirer la Ola et les animations colorées jouées depuis les tribunes.

    Le match quant à lui n'était qu'un délice et me rappelait la Thieboudienne que ma Gros mémé me préparait et que toute les gros mémés et mamans d'ici savent préparer.

    Les sénégalais font leurs show, face à des Bulls vraiment bien dans leur peaux, mais très timides. Sadegian et Morsi ouvrent le score sur bonus. Puis soudain, porté par le peuple africain, Fé Bunga se retrouve dans une position favorable. Le but étant bloqué, il préfère le bonus. Marquant son point avec prestige, il lève son index droit vers le ciel en guise de dédicace. On connaissait les sénégalais bon tirailleurs, et a la proie quadrupède facile à rôtir. Van de Vaart, change son fusil d'épaule et assassine Alexandre Maya d'un uppercut terrible. Les Keepers mènent au score. Heureusement Amorim cherche le contre, attrape la balle en vol pour inscrire un bien joli but. Au Final, emmené par Supermario, les Oxes se déchainent. C'est Mario qui fait la différence et permet aux Viennois  d'accrocher une belle victoire de prestige... C'est pas demain la veille que les Hard Bulls battrons les fanstastiques Zinguinchor en ligue.

    A la fin du match, un spectacle son et lumière a enthousiasmé la foule, ainsi que des combats de coq.
    Et si seulement ce courage et cette ténacité des vétérans insufflaient un excès d'orgueil aux jeunes... nos Hard Bulls pourraient se maintenir en Platinium.

     

    De notre correspondant aux Sénégal Mousse Bakayoko-Gruber

  • Die Goldenen Ochsen

    C'est sous cette appelation pour le moins originales que se présentent d'anciennes gloirent bedonnantes ou encore très en forme des Hard Bulls:


    Martin Rauchegger, 32 ans
    "Supermario" Mario Baroux, 33 ans
    Reinhard Lindner, 32 ans
    Jean Amorim, 32 ans
    Jürgen Strobl, 36 ans
    Benjamin Seher, 36 ans
    Alexandre Maya, 38 ans
    Günther Kary, 38 ans
    Isidore Katika, 41 ans
    Fé "King of Bongo" Bunga, 45 ans
    Bartlomiej Malesa, 46 ans
    Leo De Jong 41 ans

    Bunga, Malesa, ne vous rappellent-ils rien ? Mais bien sûr que si, 2104 et le titre de champion, que 20 ans plus tard les gamins d'hier renouvellaient. Katika, Amorim, Baroux, Maya... que de bons souvenirs et des galdiateurs pour certains franchement en forme et pour d'autred portant leur embonpoint comme ils portaient les points dans le temps.


    Et on ne peux pas dire que les fans, les groopies, les jeunes, les moins jeunes et tous les autres vétérans de la Metropolitan Arena ne s'en donnent pas à coeur joie. L'événement créé par Patou Schminoosh, gloire ultraplanétaire de l'Ultraball n'est rien qu'une fête gigantesque et ultrapopulaire, de Moscou à Kilmarnoch, en passant par Bamako, Paris, Beyrouth ou Kiev, les foules sont en liesse.


    Autour de l'arène viennoise, on y retrouve une grande braderie d'articles dédiés à l'UB, des objets kitsches, des icones, des articles de collection, des photos. Bien evidemment la bière, le snaps, le bon vin coulent a flot. Les gamins échangent leurs paninis actuels et leurs papas finissent ceux des collections vielles de parfois plus de 20 ans !

    Quant aux matchs, ils sont a l'image des Hard Bulls ramolis que sont les Ochsen germaniques,... Oxes anglais,... ou boeufs, en francais. D'ailleurs, voilà pourquoi Alec Springett, ancien pillier des Bulls et des bistrots, collectionneurs de scandales et de belle blondes plantureuses n'a pas accepté l'invitation. Imaginez, il ne voulait pas apparaitre sous l'étiquette taureau castré (boeuf). N'empêche qu'il assiste amusé aux matchs, et sa bedaine attire toujours encore la presse people et les blondes plantureuses.

    On a vu au dernier match, une equipe bien en peine contre les Atomes. Uranyum Buhert a fait ce qu'il a pu en vestiare pour encourager Baroux et les siens, mais la chimie n'a pas fonctionné, il n'avait pas la bonne formulation.
    Demain, ce sont des souvenirs bretons qui vont rivaliser contre les Bulls. Voila de quoi redonner des ardeurs aux Bulls, qui n'oublierons pas qu'a cause de ces même rennais, ils ont ratés des montées, des titres et subit des relegations. Mais aussi que certaines des victoires les plus importantes ont été joués contre ces Oursons.

    Que la fête continue dans toute sa splendeur !

  • Le chant du capitaine

    Il n’y a pas de doute, cette fois, le Capitaine Hohenrainer à su emmener, en bon chef d`orchestre ses coéquipiers vers une victoire mérité.
    La partition stratégique jouée sur le parquet viennois a sonnée juste. Ce n’était pas une grande symphonie, mais ne ressemblait plus que de loin á la cacaphonie jouée depuis le début de la saison : la note d’intérêt globale de 1249 est plutôt encourageante. Le match est ponctué par une solide défense et par un Friedrich Hohenrainer souriant en fin de rencontre : il retrouve le chemin des but et inscrit 10 points qui font du bien.
    Maintenant il doivent préparer sérieusement la deuxième partie de saison et un défi de taille a été commandé, celui de battre les soldats bulgares de Krumovograd. Bien que sérieusement maltraités par Beyrouth, nous savons que les Bulgares pourraient contrecarrer les plans d’attaque des taureaux. Metal Hurlant est un coach de grande qualité, qui a su mener différentes franchises au top en peu de temps et avec des moyens technologiques limités.

    Le prochain match est donc capital pour la suite de la compétition et la stratégie d'avenir des Bulls... sujet sur lesquel nous portons toute notre attention depuis quelques jours maintenant.