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Continuons par les grands patrons... le staff administratif, sous la tutelle de Monsieur Herminator. Sans eux, pas de clubs, pas d'argent, bref, rien qui ne vaille en Autriche.
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- Christian Fuchs -
Certains de nos vaillants supporteurs le réclamant depuis longue date, voici le staff technique au grand complet. peu de changements, si ce n'est au niveau du coaching.
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- Christian Fuchs -
Nous en avions trés peu parlé, mais Buhert "Uranyum" ex Beyrouth et ex Vienne avait été choisi comme coach assistant en début de saison. Visiblement, son expérience de joueur n'a pas su prévaloir dans ses choix tactiques. la direction des Bulls se sépare donc de l'ancien vétéran, qui passera d'abord ses vacances en famille en Anatolie.
Au niveau du staff technique apparaitrons les changements suivants:
Recep Sarioglu retraité depuis deux ans devrait être appelé en tant que Coach assistant - son contrat prévoit des objectifs clairs, notamment de réétablir des bases solides pour la remontée. Une bonne performance lui permettrait de prendre seul les choix tactiques de l'equipe premiére.
La baisse imposée de la masse salariale obligera les Bulls également à refondre son systéme d'entrainement. Munib Kurtusic, devrait reprendre l'ensemble du programme d'entrainement, Achim Kovacs quitte quant à lui le staff.
Almir Kovaly, prendra la direction du centre de formation, sous l'égide de Sarioglu qui dirigera les choix tactiques des rookies.
Les gogos girls restent bien sûr en place, pour le plus grand plaisir du public. Nous espérons même aggrandir l'equipe.
Quant à la direction, celle-ci, sous la responsabilité du DG, Helmut Oder, se dit confiante. Pour reprendre ses termes, "Un taureau se bat jusqu'au bout, il ne se laissera pas couper les oreilles si facilement par une fillette de cape et de paillettes."
Dès ce week end ce nouvau monde se mettra au travail. Herminator et Sarioglu vont devoir faire des choix importants durant les enchéres. En attendant, nous souhaitons un pompt rétablissement à tous nos gladiateurs usés par cette saison.
C'etait un choc redouté par des Bulls contraints à une victoire. Le résultat est à l'image des pronostics, une petite longueur d'avance, mais que ce fut difficile! Du coup, Herminator a pu se réjouir de fêter mardi son anniversaire en toute serénité, ses gladiateurs lui ont fait un beau cadeau. "Du beau travail d'equipe et une vaine incroyable" dira-t-on au sein du staff technique.
Revenons sur ce match, trés représentatif de la nature des volcans: soit il dort, les oiseaux chantent et les ruminants broutent, soit il se réveille brutalement et tout explose, soit il ronronne timidement se contentant d'une larme de magma. Reykjavik n'a pas su disposer des Bulls, pourtant diminués. D'un Volkan qui dors on en fait un fromage et le taureau-qui-rit !
Les Bulls lancent la premiére phase offensive, dans un style assez nouveau lancé notamment sous les conseils de l'ancien vétéran des Mendeleyev Stars puis des Bulls, Uranyum Buhert. Hermi, se rongent les ongles sur son banc, mais son visage eteint s'illumine devant ce qui lui apparait être une débandade défensive. Bientôt Carlos Neuman se démarque et "King of Sex" Springett peut pour une fois allonger autre chose qu'une blonde, un boulet précis au Blitzeur esseulé: 5-0.
Sur leur premiére phase défensive, c'est plus chaotique, même trés risqué: deux joueurs partent en contre ! Hermi ne serait-il plus écouté ? Il semble en effet, que sous l'impulsion et l'expérience de Neves, le pack viennois veux prendre à contre-pied Hermi et tente un truc incroyable, laissant des ouvertures incroyables.... et... ? Alors que d'aucuns pensaient à l'egalisation, Viljakainen et ses collégues trop occuper à observer les adversaires oublient le jeu. Viljakainen est effondré de voir son tir rater la cage adverse.
Sur leur deuxiéme phase offensive, les viennois engagent une attaque en ligne, qui foire complétement. La encore, le volcan islandais aurait pu donner du fil à retordre aux taureaux bleux. Au final, tout s'immobilise. La lave n'etait pas assez chaude.
Dernier QT. Hermi est sombre. Il méne, mais de rien du tout. Neves organise quant à lui la défense. Neuman s'echappe vers le bonus alors que les quatres piliers defensifs organisent le pack. Les spectateurs animent les gradins. Puis Oh! surprise, encore une fois Viljakainen manque de chance ! Balle au sol, renvoyée vers le Bonus No 1 sur lequel Neuman attandait sagement. Neuman doit faire un petit effort pour récupérer l'objet du désir tomber à quelques pas. Et puis ? Neuman ne devrait-il pas creuser l'ecart ? Ben non. Il attend. On va lui changer son casque, il n'a pas entendu l'ordre de son coach, en dépis de quoi, il tentera au final l'impossible, un tir de la zone "2", logiquement manqué. Le match se termine par un débordement de joie du côté viennois. Les Volks, eux, ont pri une douche froide, le Volcan est parti prolonger sa sieste et reprendre des forces avant de crâmer de l'Ourson.
Les Viennois préparent quant à eux une rencontre inédite, ils recoivent les Clones de Boosty, battus par les Richter la semaine passée.
Au classement, les viennois gagnent deux places, à egalité de point avec Helsinki, Amsterdam, Berlin et Beyrouth, devant les Oursons de Grumly. L'ecart des Volks à Poitiers ne dépassant pas 6 points, la compétition reste encore trés, trés serrée ! Les Bulls se battrons donc jusqu'au bout pour le maintien!