Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Hard Bulls Welt - Page 8

  • Fête nationale et boulot

    En ce jour de commémoration de la déclaration de neutralité de l'Autriche - d'aucuns disent qu'en ce 26 octobre 1955 le dernier soldat occupant, un russe parait-il, quittait le territoire autrichien - la population peut jouir d'un jour de repos supplémentaire.

    Les festivités seront quant à elles traditionnelles: saucisses grillées, bières et vins fournis par divers stands à chaque coin de rue, repas traditionnels servis dans tous les Heurigers et Gasthofs de la place, défilé militaire, parades des différentes corporations...
    A Vienne par exemple, le chancelier autrichien prononcera également un discours sur le parvi de la  Hofburg, alors que le Prater sera bondé et la fiére et grande roue du parc proposera aux familles un tour gratuit et ovserber des cieux la grandeur universelle de la capitale.

    Alors que toute la ville sera sous les feux des projecteurs et sous les feux d'artifice, la Metropolitan Arena voisine proposera un programme réduit: Au menu musiques traditionnelles et braderie des supporters. Un coin bistrot sera bien entendu ouvert, saucisses, schnitzelsemmels et autres sandwichs accompagnerons diverses boissons aux couleurs locales.

    Cependant, les portes ne seront pas ouvertes comme l'an passé ; le stade restera bel et bien fermé et isolé de toute intrusion intempestive. Le service de sécurité de M. Schwarzenegger veillera au respect de l'isolement. Effectivement, les gladiateurs et l'ensemble du staff prépare d'arrache-pied le match contre les Loosers. Depuis plusieurs jours déjà, musculation, jogging, boxe et arts martiaux préparent le physique et le mental des taureaux.

    "Nous avons pu nous procurer des vidéos trés intéressantes, il s'avére que nous allons pouvoir retourner le jeu adverse en notre faveur, car nous aussi nous avons nos armes. Notre jeu sera musclé et nous allons les prendre à leur propre jeu pour finalement nous imposer. Car seul la victoire compte à ce stade de la compétition... Big Looser a intérêt à mettre des dermales en face. Et ils sont trop fiers et trop sûr d'eux. Nous allons leur botter le cul, qu'ils préparent des coussins, ils ne sauront plus s'assoir sinon" Dixit M. Herminator lors de la conférence de presse de lundi matin.

    Un aigle royal paré de rouge et de blanc flotte sur tous les monuments administratifs, le soleil est au rendez-vous, et le ton est donné.

    - Christian Fuchs -

  • Un nul, une victoire, euh.. Pardon quoi ca ? (suite)

    La sixiéme journée quant a elle est trés germanique. Les viennois rencontrent d'anciens adversaires, les allemands de Orana, sans reel buteur de talent.

    Le match est trés en faveur des allemands, qui pressent et taclent les autrichiens à n'en plus finir. Encore des coups, toujours des coups. Herminator transpire et s'agite beaucoup sur le banc, il a peur pour ses jeunes protégés.

    De Jong fatigué était absent de la partie, Goldman a le grand honneur de réaliser un sans faute et montrer à son public ses talents. La surprise viendra de Joaquim Neves le "Kommandant" (edit:capitaine) qui motivera les troupes tout au long du match ; pas un QT de repos mais un but et quel but ! Celui que Goldman manque !
    Alors un déclic ? Peut-être, tous les gladiateurs viennois encaissent sans broncher les placages adverses, il semble que ce petit avantage leur permet enfin de mener un match et avancer sans broncher. Autant Truong égalise, autant le troisiéme QT est favorable cette fois-ci à Goldman qui utilisera correctement son talent pour racourcir le temps de jeu´et  se lancer dans une défense heureuse.

    C'est une victoire à l'arraché, peut-être un hold-up. N'empêche que, sans réel buteur, Orana n'inscrira pas au dernier QT, qui parait bien long. Orana s'enfonce, les Viennois prennent enfin quelques points salvateurs et peuvent préparer un autre match physique, face au coach Big Looser, même si ce dernier est amoché par les Néo-Zélanais.

    - Amin Assonger -

  • Un nul, une victoire, euh.. Pardon quoi ca ?

    Suite du programme chez les Bulls. Changement de ton momentané ou déclic ? Retour sur les deux derniéres journées de championnat.

    La cinquiéme journée était marquéepar un petit defi d'ordre "amical", qui n'avait rien d'amical puisque pouvait servir de tremplin pour les autrichiens comme pour les écossais. D'abord, c'est un match entre un promu de Silver et bon dernier de Golden contre un ex-Platinium et premier relégable de Golden. C'est un match également en présence de deux étoiles incontournables de la fédération, dont un passeur légendaire, Flygt et White, contre le meilleur passeur décisif de la saison précédente toute ligue confondu, Isidore Katika.

    Le Whisky Road est étonnement vide lorsque les joueurs de Herminator entrent sur le terrain, à peine rempli aux trois quart ; les supporteurs écossais chantent une future victoire assurée et la mort subite de leur adversaire, mais les chanteurs sont bien pâles et leur voix tremble : les autrichiens reprennent en coeur leur hymne "Die Bullen Sind Hinter Dir" et cela fini par des jets de tomates contre des jets d'oeufs pourris. Aussi le service d'ordre écossais aura du intervenir plusieurs fois pour remettre un peu d'ordre, lorsque certains autrichiens se sont mis à siffler leur adversaires et lever leur bras droits en criant des SIEG HEIL! Car ce genre  de comportement n'est pas permis.

    D'un intérêt plutôt élévé, le match n'en fut pas plus le tremplin que cela. Les deux équipes se neutralisent par deux buts chacun et Colin White reste le "Géantissime" passeur face à un Katika en petite forme.

    Le cinquiéme quart-temps se déroule dans une ambiance bon enfant, même si Mike Collins et Tom Awake ne sont point apparus, c'est Jim Clark qui a contribué à continuer la petite fête "écossaise" en l'honneur de leur vaillants adversaires, en offrant une tournée générale de Whisky dans le Sudden Death Cellar Pub. Cette petite fête a été l'occassion pour son homologue viennois, Klaus Heidegger, du voyage pour une fois, d'offrir au Cellar une cargaison compléte de Schnapps et Vins autrichiens. C'est avec un mal de crâne incroyable que les autrichiens ont repri leur Jet privé le lendemain pour Vienne, sans savoir dans quel état étaient les écossais.

  • Que se passe-t-il ?

    4 matchs, 4 défaites. Tel est le bilan de quart de saison pour les Hard Bulls. Une à deux victoires étaient espérées pourtant. Alors que se passe-t-il ?
    L'équipe n'est pas en grande forme. La reprise a été douloureuse, tous les matchs physiques en dehors de celui de Oulan-Bataar. Les stratégies mises en places à défaut d'être trés originales n'ont pas su créer les résultats escomptés.

    Match 1: Oulan-Baatar pour une belle affiche d'ouverture. Forts d'un bilan mitigés 1 victoire, 1 défaite et un nul face aux bons deuxiémes de Silver 2109, les Bulls se ramassent 3 buts en ouverture. La défaite aurait du être moins large si une passe n'avait pas été ratée.

    Match 2: Clones. Qui étaient donc ces clones ? Une équipe certainement ambitieuse face à une stratégie de frappe ciblée.

    Match 3: contre les adversaires des mongols au match 2, une bonne préparation et pourtant un résultat opposé á celui du coach Metal Hurlant. Paris Booster s'offre même le luxe d'infliger un Kill, ce que les Bulls n'ont pas su, peut-être parce que Strobl est trop jeune et Badcock pas assez réactif encore.

    Match 4: Que d'erreurs et des passes mal ajustées. Katika n'a pas de job facile en ce début de saison, surmenage ? Et encore un Kill. Le nul aurait pu passer pourtant.

    Match 5: personne ne mise sur les Bulls, pas même le Big Boss Herminator. Les viennois visitent le Whisky Road*, l'antre de l'UB écossais, pour un défi lancé sur son "pote" Tom. Il est a présager que Flygt et White, soutenus par plus de 15000 supporteurs vont mettre à dur épreuve les autrichiens. Si Tom gagne, il prendra un peu d'air frais au classement, si Hermi gagne, il ne lui restera plus que une à deux victoires supplémentaires avant espérer de se maintenir.

    Que se passe-t-il ? Stratégies branlantes ? Fatigue trop importante des joueurs ? Surmenage mental (drogues) ? Peut-être un peu de tout cela. Allons donc remplacer les drogues par le whisky !

    Heil ! Heil! Steh auf! Die Bulls sind auf dem Jagd!