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  • Mais ils sont où ? Mais ils sont où nos autrichiens ?

    Mais ils sont où nos autrichiens ?

    Voilà une question que la rédaction du Fanzone s'est posée, en l'absence de fédération officielle autrichienne.
    Notre enquête nous a mené au coeur du poitevin, une région arride et vide, où seules deux bourgages font encore bonne figure, en autre grâce à un eternel festival de dessins. Il va de soi que l'Ultraball semble leur porter bonheur.

    Et oui, selon notre enquête, pas moins de la moitié du Team Red Bulls Austria vit ou survit à l'Ultraball dans cette région tellement platte, qu'ils n'ont pas même un opidum, a peine des cailloux en guise d'ultimes montagnes.

    Pour preuve:
    Les routiniers Eduard Winiwarter le sage et Robert Sageder, le jeune premier Hans-Jürgen Wendl, qui vit entre Poitiers et son nouvel employeur, et Gunther Kary qui commence à faire ses armes ; tout ce beau monde fait la magie des Magelis. A se demander si les supporteurs ne devrait pas apprendre la langue de Goethe et apprendre à mieux apprécier la musique de Mozard !

    La terre de France accueille également Gerhard Kary, le grand frére de Gunther, qui adore le parfum de l'Atlantique, et Christian Saller, le tyrolien d'innsbruck, parti deux saison dans la "Partnerstadt" Grenoble, suite à un échange universitaire, avant d'aller goûter à la moutarde bourguignonne.

    Jakob Schonauer, le viennois, joue à Rejkjavik, mais a été formé à la brutalité gironde de Salleboeuf; Karl Fraczyk lui n'a pas connu la terre des gastronomes, il à préféré le froid des Oscillators; Gregor Holaszek, un ami d'enfance de Christian Saller a connu la Fun Tim avant de devenir un Taulard de Free Prison. Enfin, nous avons découvert qu'un certain Alfred Ilinger s'est essayé au Ultraball chez les Allemands d'Orana Chaos.

    Conclusion, les autrichiens aiment bien la France. Prochainement, nous menerons une petite enquête sur la jeunesse autrichienne dans les centres de formation.

    - Amadeus Wolfgang -