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  • L'abeille s'appelle Alexandre

    Quelle surprise pour tous les fans,

    Certains de vos aieux se souviendrons de la création d'une série pour enfants, sur la base d'une oeuvre de Waldemar Bonsels, auteur obscur d'origine autrichienne. L'Ultraball n'est pourtant pas un conte pour enfant, ou alors pour grands enfants thrash. La venu est semble-t-il justifiée par un gros besoin défensif et une star était exigée.

    Reste à savoir si Alexandre Maya est bien la bonne personne, à 26 ans et avec un contrat à renouveler en fin d'année. 

    Les Hards Bulls peuvent donc désormais compter sur une défense robuste et potentiellement trés dangereuse: Strobl, Badcock, Organero et maintenant Maya, tous greffés offensivement et tous capables d'assener des coups violents. Une pointure telle que Maya devrait donc apporter une solidité complémentaire dans la défense et la possibilité avec Organéro de répondre à des ordres plus complexes que ceux que réalisent Badcock et Strobl. 

    Reste également à confirmer que les 6 derniers matchs de la saison peuvent être remportés après les pages Lhassa et Rostov malheureuses. Si les viennois désormais, gagnent 3-4 matchs, alors ils auront peut-etre une chance de tenir la Golden l'an prochain.

    Quant à voir là une équipe se tourner vers le kill, il reste encore un obstacle important: on ne franchit pas le Danube comme on franchit le Rubicon.

     

    - Wofgang Amadeus -

  • Kop Ultra Bulls

    Les mauvais résultats des Hard Bulls, pour changer, méritent de très nombreux encouragements: le public doit venir soutenir d'un seul tenant les champions autrichiens et les porter vers de nouvelles victoires.

    Dimanche soir, une grande fête est prévue. Le Kop Ultra Bulls prévoie de mettre le feu. Ainsi, a l'instar des Ecossais, nous allons devoir chanter en choeur (et avec beaucoup de coeur). Nous publions donc les chants que nous tous devrons entonner. Ces hymnes viennois sont aussi un hommage au héro de la pop musique autrichienne de tous les temps avec Wolfgang Amadeus: Falco, qui inspire les ultraballeurs et les Hard Bulls.

    Lorsque le mol autrichien poussera le porteur de balle vers le but adverse, nous avons prévu d'antonner le PUSH! PUSH!

    "Push! Push! Push! Just a little
    Push! Push! Push! A little further
    Push! Push! Push! Just a little bit
    Push! Push! Push! A little bit mooooooore!"


    Chaque action doit être marquée par la volonté de vaincre, soutenue par le tout Vienne (Ganz Wien):

    "Ganz Wien
    Ist Heut auf Ultraball
    Ganz Wien
    Träumt von Hard Bulls Stars
    Ganz Wien, Wien, Wien
    Greift auch zu Siegfaktor
    überhaupt in der Ballsaison
    Man sieht ganz Wien
    Ist so herrlich hin, hin, hin
    Ultraball und Hard Bulls Atars
    Ultraball und Hard Bulls
    Machen uns hin, hin, hin"

    La défense est importante aussi. "De-fence! De-fence!"

    Mais surtout nous avons pensé a un hymne mondial depuis des décennies et cette, fois c'est un opus de OPUS que nous avons choisi:

    "Nanananana
    Nanananana (all together now)
    Nanananana
    Nanananana

    When we all give the power
    We all give the best
    Every minute of an hour
    Don't think about the rest
    And you all get the power
    You all get the best
    When everyone gets everything
    And every song everybody sings

    Life (nanananana)
    Life is life (nanananana)
    Labadab dab dab life (nanananana)
    Liiiiiiiife (nanananana)"

    Up the Bulls ! Go go go ! go on to the victory.

     

  • la viande de boeuf est déguelasse

    Pfiou,... 20 - 0 et tous les joueurs alignés killés. Ce n'était pas beau a voir. avec ca, les deux lopettes que sont Badcock et Strobl, aussi renforcés qu'ils soient, n'arrive même pas, malgré leurs lames, à amocher un adversaire. Organéro ne peux rien faire tout seul.

    Ce n'est pas fini. Ce paysan-vigneron de Gutdeutsch, qui se croit si fier avec son viseur laser, il lui faut s'y prendre par quatre fois pour tirer au but et rater. Si il avait marqué son premier but, il y aurait eu des baffes en moins.

    C'est pas fini, pour une fois qu'il y a du spectacle à la maison, alors que la ligue nous oblige a aggrandir notre stadium et bien même avec des places à 1 € donc quasiment gratuites, les viennois ne viennent pas. Quel gâchis. Un zéro pointé sur toute la ligne.

     Non mais j'espére que les lamas vont faire une indigestion de boeuf. Si au moins il n'y avait eu que de vrais morts, une bonne raison d'arrêter la franchise aurait existé.

    Et dimanche ? Bof, on va bouffer du russkoff. A moins qu'ils ne soient bourrés, on a toutes les chances de ne pas faire bonne figure.

    Et aprés ? Bof. Kary et Barroux reviennent de greffes.

    Et la fin ? Il n'y aura pas de fin heureuse que la mort ou la victoire. Et oui, ce n'est pas avec des mauviettes et des lopettes qu'on arrive a quelque chose. M'enfin, on arrete de s'occuper des autres et on laisse aller. Un jour peut-être.

    En tout cas on se souviendra des Bulls comme l'equipe la plus nulle de son histoire et on entrera dans le Hall of Fame des plus mauvais joueurs de l'Ultraball. Si vous voulez, je vous cite ce qui s'est entendu dans les couloirs de la Metropolitan Arena comme gros mots à l'encontre de l'adversaire du jour ? Non ? Vous êtes-sûr ? Tant pis.