Il y a bien longtemps que les Bulls n'avaient revu la Golden, et celle-ci semble bien leur réussir a ce jour. Et la Golden 2117 semble bien passionnante même si aucune franchise ne sera reléguée. A y regarder de plus près, seuls Beyrouth et Thorsund font figures d'épouvantail par l'insolence de leur réussite. Derrière ça se bouscule. Varsovie et Cherbourg alignent 4 matchs victorieux suivi des viennois, Rennais, Moscovite et Ninjas, qui avec 3 victoires au compteur peuvent encore essayer de s'accrocher au TOP4. Nous nous passerons de pronostics trop avancés, mais Vienne et Rennes semblent les plus solides pour déloger les polonais et les aigles normands.
Mais avant d'en dire plus, revenons sur la mi-saison viennoise avec pour entame une très grosse victoire sur des dijonais dont la franchise annonce son retrait (!) la sauce moutarde ne prend plus. Les fans sont là, mais le cœur n'y est plus.
Ensuite la déception d'une stratégie hasardeuse face à Thorsund. Au vu du résultat sévère on se demande encore comment les norvégiens parviennent a un goal average actuellement négatif. le match suivant est encore un gros carton contre des Ninjas qui semblent fatigués. Cette deuxième victoire est importante, jamais les viennois n'on pu aligner plus de quatre victoires en Golden. Et plus les points arrivent tôt meilleurs sont les chances de tenir un rang de favori ! Mais les résultats restent en dents de scie. Big Looser justement montre ses dents et fait "mumuse" sur son terrain.
Ces deux défaites face aux norvégiens puis aux américains doivent rester uniques. Voilà ce qui se marmonne dans les vestiaires. D'ailleurs les viennois se rassurèrent rapidement, avec un nul et une nouvelle victoire. Et de trois! Il faudra encore au moins deux victoires pour espérer atterrir dans le TOP4.
Mais bientôt en face il y aura une bête. Un monstre atomique dont les annales poussiéreuses se souviennent. Quoi ? Vous ne connaissez pas Tom Roy, Fatih Sukur, Nunez Guzman et leurs numéros atomiques ? Et bien allez chercher du côté de Beyrouth. Parce que dans cette franchise là, on ne badine pas, on ne fait pas dans la dentelle. On fonce tête baissé et que si je t'attrape, je te tue. C'est une centrale a gaz. Enfin non, pas vraiment, plutôt une centrale atomique, mais c'est l'expression qui est comme ca, c'est façon de parler. Beyrouth façonne les champions et Beyrouth c’est du genre très explosif sur touts les plans. Ils se sont même remis à rebaptiser leurs stars du nom d'un atome. C'est bon signe. Pas pour leur adversaires, mais pour eux et leur coach au nom bizarre... Gwty,. Appelez-le Gwen c'est plus simple, quoique. Donc disais-je, Striani - le Paladin - devient Palladyum et j'en passe.
Le match va être préparé avec soin. Les fans s'attendent a une grosse pression aussi bien sur les Bulls que sur les Superstars. Face à face Baroux et Striani. Ils se valent. Et puis il y a Nasr et Farokhi. Est-ce que Borja Navarrente et Lindner seront tout aussi bon défensivement ?
Les Viennois ne veulent pas perdre. la victoire donnera un ascendant psychologique certain sur la fin du championnat. Ils cartonnent et ils veulent continuer. les viennois sont portés par leur meneur SuperMario Baroux. 10 ans après, les Viennois ont leur nouveau "King of Bongo" et plus de maturité.
Que le meilleur gagne ! Mais surtout les viennois !
Markus Fuchs pour FM5 - Die Hit Radio.