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Breaking News - Page 3

  • Les nippons mauvais, les Bulls déboulent

    Ce soir, dans un très beau stadium, plein à craquer - décidément les Bulls attirent les foules - les Viennois ont fait une bonne impression et ont pu dérouler un très beau jeu, certainement celui qui obtient actuellement les plus belles notes de la Golden 2117, la preuve, les bookmakers ne s'y sont point trompés, la note est de 1357 au terme du spectacle.

    Mais que de spectacle ! Les spectateurs japonais et surtout japonaises n'avaient d'yeux que pour Mario Baroux, face à un Katana Ukai bon mais plus terne que d'habitude. Ce n'ai pas pour déplaire à Supermario, qui en quittant les vestiaires s'est résigner à signer aux lolitas en jupettes et autres jeunes fans les autographes. Mario a même failli rater le bus qui emmenait ce soir les autrichiens vers les Amériques (prochaine étape Looser Town).

    Revenons-en aux faits d'armes. Faces à des Ninjas dont les viennois connaissaient si peu, c'est une équipe traditionnelle qui se présente sur le terrain. Notons toutefois l'arrivée d’Ulrich Tarrasch pour son premier match officiel aux couleurs viennoises et surtout la décision inadmissible des arbitres, qui ont refusé le terrain à Günther Kary. Contrairement à certains, nous ne polémiquerons pas sur cette décision, mais nous n'exagérerons pas en annonçant que les arbitres ont certainement été corrompu.

    Même sans Kary, la défense déroule et se permet de stopper "Katana" Ukai forçant Winckler à placer une balle en direction d'un Takeba maladroit. Un quart-temps sans encaisser de points est toujours un bon signe. Et effectivement, les visiteurs prennent l'avantage à temps de jeu suivant.

    Les actions ont été mûrement réfléchies. Les Viennois adoptent un jeu sans fioritures, Baroux se détache, Amorim tiens la boule de fer solidement entre ses mains et O miracle, les taureaux montent au front toutes cornes pointées vers l'avant! Du pain béni pour les routiniers que sont Bataller et son coup de boule et Lindner et ses frappes incisives. Le pauvre Shodo en prendra des coups, il ne manque pas beaucoup, peut-être Borja Navarrante pour finir le travail dans un bain de sang. Le public hurle de joie, il voulait les oreilles et la queue de la bête autrichienne, finalement le sang coule au pays du soleil levant.

    Le troisième quart-temps est plus ennuyeux, Ukai réussi finalement à se détacher pour inscrire un bien joli but, c'est vrai. Sur cette action la présence de Kary aurait peut-être donné un avant goût de victoire plus tranchée.

    Enfin, Baroux reprends son poste fétiche. Il inscrira six points bien mérités qui terminent un match sur une belle victoire. Ainsi les Taureaux entrent au quart de la saison dans le quatre de tête. Les équipes aux avant-postes sont pourtant nombreuses pour dire avec certitude que ça sent la Platinium. Mais du beau monde pointe son nez: les Thortues prennent la tête du groupe grâce à une belle série depuis la défaite autrichienne. Rennes et Beyrouth, marquent des points précis, tandis que Varsovie et Moscou mettent à mal leur union sacrée. (Ost Berlin sauve l'honneur en Platinium). Et de notre avis, c'est parmi les huit premiers actuels que se trouvent les futurs gradés.

    A bientôt ! Long live the Bulls ! Ja wir schaffen's !

  • Carton plein

    Avec un score fleuve de 20 à 0, comme nous n'en avions plus vu depuis 2104, sans aucun doute, la tournée irlandaise des viennois s'est soldée avec une note qui satisfait largement les bookmakers, a défaut des spectateurs qui se sont largement ennuyés.

    C'est à l'eau et au pain sec qu'ont carburés les gladiateurs. Il leur fallait se reprendre et ont de ce fait entrepris un gros travail sur eux et sur leur jeu. Après deux matchs disputés mais ratés, il n'y a pas eu une querelle de  vestiaire, critique virulente ou diatribe dithyrambique qui font la joie des chroniqueurs. Non, la presse a été injustement muselée et ferrée! Pas un mot ne devait gicler, le staff et les glads devaient travailler sereinement.

    Finalement le match était assez pâle, c'est vrai et les irlandais (du moins ceux-là), qui pourtant à l'instar du peuple écossais sont des durs à cuir, n'ont finalement pas su faire montre de plus de courage ni de plus de combativité. Celle qui a tant manquée aux autrichiens deux week end consécutifs. Non, ils ont été trop largement surestimés par un staff viennois anxieux, tout comme de rares parieurs fous. Les Bushmills sont de braves guerriers et leur réputation reste à inventer.

    Au dire de certains journalistes, la puissance d'attaque des viennois reste exceptionnelle, mais que dire de la défense! Nous avons pu assister à un match France - Autriche de Coupe du monde, avec d'un côté un Mario Baroux, notre Nouvelle Star, de plus en plus adulé par les foules. Notre "Super Mario" fait rêver les fans  qui depuis plus de 10 saisons se cherchent un nouveau King Of Bongo*. L’ont-ils trouvé ?
    De l'autre côté, les Kary, Seher, Rauchegger, Strobl et Lindner montrent leurs talents de contreur et de défense. Deux buts de Baroux valent bien la paire Rauchegger - Seher auteurs de deux contres formidables.

    Après deux matchs minablement perdus et pourtant bien défendus, un deuxième titre tant flatteur soit-il semble s'éloigner indéniablement au profit des Oursons, éternelles bête noire. Mais la Golden League se rapproche doucement! Le Bilan de la soirée est bon. Au prochain tour, Solo Soeharto aura droit à son siège de visiteur dans l'Arène Métropolitaine. Les taureaux se battrons corps et âmes contre les pythons et vaincrons !

     

    *ndlr: Retraité depuis 2108, Fé Bunga dit King of Bongo fut la grande star de 2104, artisan du titre de champion d'Open. 14ème joueur de l'histoire ayant marqué le plus de points en une saison (Hall of Fame)

  • Wien lebt, dada-daa-daa-daa

    Au Megara Stadium ce soir, ce ne sont pas des marins d'eau douce, ni des moussaillons qui courrent aux trousses des autrichiens. Coup de sifflet.

    Au premier quart-temps, Coudry, Canto et Haas ouvrent le bal, portant la sphere à rythme de cheval face à un Rauchegger hagard. Pendant ce temps, Fritz Strobl cherche désepéremment la balle, Kary prend un temps de retard et laisse tomber ses grenades derrière le blitzeur adverse. Simplement la boule atteind sa cible et la défense autrichienne prends l'eau. Déjä le mal de mer ?

    Alors que les supporter blancs et rouges  hurlent à hue et à dia cherchant à soutenir leurs gars, l'arbitre siffle le deuxième quart-temps. Cette fois les visiteurs vont au front, les cornes pointées vers le but adverse. La partie s'engage sur un jeu de dupe... Non Amilcar ne se laisse pas berner si facilement et place ses hommes dans la trajectoire des blitzeurs autrichiens. Toutefois, Amorim sert habilement SuperMario qui maintenant prend son élan, couvert par Benji, puis par Gong et tends son bras. Le tir est puissant et survole Siemerink qui manque de se faire arracher les doigts en cherchant l'interception. Le sourire aux lèvre, Khangai rester san rien faire jusque là se détend et renvoie la balle au loin, sur Amorim. Mario n'est pas encore la superstar du soir. Amorim récupère et cherche aussitôt Lindner, mais le manque. La nouvelle recrue ramasse la spère mais est trop loin pour tirer. Les Brestois mènent donc toujours au score.

    Ils chantent comme des fous, mais l'echo de leur voie s'échoue dans la nuée des suporteurs bretons: le troisème quart-temps résonne comme le glas, où plutôt comme le mouchoir blanc que l'on jette dans l'arène avant de mettre à mort le taureau.

    Les gladiateurs s'élancent, avec Coudry, Pudal et Khangai au front. En face la défense se remet en place. Comme précédemment on imagine qu'elle va prendre l'eau. En quelques seconde, Amorim élimine le vétéran Maier, puis Lindner fonce sur Siemerink. Pourtant, très vite, Lindner est submergé par le train. Gong est en retard, Rauchegger bat en retraite. Heureusement Kary veille et stoppe les efforts de Pudal.

    L'adversaire tiens son match, mais Herminator sait que ses hommes peuvent encore renverser le score. la stratégie mise en place doit payer coute que coute et SuperMario en est le pilier. Dans la huée générale adverse, les autrichiens se mettent en place. Les supporteurs retiennent leur souffle. la balle roule au sol, Amorim la récupère. La défense adverse est bien en place. Il va falloir les déborder, mais comment faire ? Emmenant dans son sillage Canto, Amorim recule alors que Lindner et Seher fixent leurs cibles. Seher fait des grands appels de balle. Pudal en profite pour le plaquer alors que la balle roule en bonus. C'etait un leurre! Le gardien Haas doit chercher la sphère pour espérer ralentir l'avancée des visiteurs. Du pain béni pour Mario. Il marque son bonus puis emploie toute son energie sur un back & shoot.

    Les spéctateurs n'en peuvent plus. Wien Lebt ! Wien Lebt ! chantent-ils, crient-ils à tue tête. La victoire se joue pour un point de bonification. Les autrichiens restent leaders et invaincus de leur championnat. En prime, ils détiennent la meilleure défense toute ligues confondues, avec seulement 16 points encaissés. Face à de sérieux adversaires, ils ont failli prendre l'eau en rade de Brest, mais ont tenu le choc.

    La semaine prochaines les Corsaires essaieront de vaincre les bretons, les viennois accueillerons leur dauphin, les guerriers tchèques.

    A bon entendeur, salut !

  • Reinhard Lindner Viennois !

    Voici une nouvelle qui fera plaisir aux nombreux fans. Après une saison en demi-teinte chez les Sons of the Century, mais fort d'une expérience en Platinium, reinhard Lindner a décidé de quitter la capitale française et de rentrer au pays.

    Lindner a été drafté en 2112 par le centre de formation de la franchise parisienne. il jouera ces six premiers quart-temps alors que les Parisiens tentent leurs chances en Platinium. cela faisait longtemps que les dirigeants viennois quotoyait l'agent de Lindner. Ce garçon révèle des qualités intéressantes au poste défensif. Il n'aura finallement pas fallu batailler longtemps, peu de franchises concurrentes étaient sur les rangs et Paris ne tenait pas au jeune prodige. Un simple coup de fil a suffit pour convaincre les managers parisien de laisser Lindner se faire une place en Silver League. Et pour cause, la Franchise des Sons cesse d'exister.

    En quelque mot, c'est un garçon dont la tête est bien remplie et qui en débit de son air intello aura un job de tueur. Son job, ce sera à la hauteur de son nouveau salaire, remplacer tout simplement "l'Abeille" Maya.

     Voici un extrait de la conférence de presse de ce matin.

    "Journaliste : Monsieur Lindner, alors content de revenir à la maison ?
    R.L.: Y a pas a dire, gamin, je regardais Fé Bunga parcourir le parquet des Bulls et rusher en jonglant avec la balle et je n'avais qu'un seul rêve, franchir également les enceintes de l'arène pour aller au front.

    Journaliste: Finalement votre boulot n'est pas le rush...

    R.L.: Ah ça non. Et dire que j'ai toujours été un garçon timide et pas bagarreur pour un sou. Avec mes potes, je jouais en général en attaque, parce que je savais feinter. Qu'est-ce qui m'a pris d'apprender à le block ?

    Journaliste: les parisiens ?

    R.L.: et oui

    Journaliste: et comment avez-vous débarqué là-bas ?

    R.L.: Le centre parisien a été une bonne aubaine, c'est vrai. J'ai envoyé mon CV sur un forum, puis les tests de compétences, des matchs de qualif, et hop voilà que je débarque à Paris recruté par un grand gars chauve à l'air patibulaire. J'ai cru qu'ils m'enmenai en asile.. (rire)

    Journaliste: et ca fait quoi de devenir une star ?

    R.L.: Moi, une star ? si c'était le cas je le saurais."