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Les Hard bulls sont fiers de présenter leur nouveau logo...
... qui reste à fidèle à l'identité soft et sobre du team. Plus de rythme et plus d'aggressivité - ou dira-t-on de sportivité ? - ont toutefois été apportés, ainsi que la mention du seul titre - et oui n'oublions pas le titre d'Open 2104 - que peut fierement porter l'Ultraball viennois.
Souhaitons que le profil des bulls et leur avenir sera fidèle à l'accueil des fans pour le nouveau logo.
- Dr. Eingeraucht -
Il est loin le temps où les Bulls étaient attendus au coin de la rue à gauche, ils sont partis à droite (...) et font réguliérement demi-tours. Le bilan de la saison 2108 est lourd sportivement et l'engagement est même menacé à terme.
Il y a une saison de cela, Hermi annoncait qu'il faillait surtout ne pas faire de saison desastreuse et reconstruire une équipe qui gagne. Immanquablement les Bulls ont failli retrouver l'Open avec brio (!). Pour l'année 2109 l'objectif reste le même, ne pas descendre, ne pas descendre, si possible remonter en Golden ... Ce ne sera certainement pas une mission facile tant l'effectif est beau en Silver.
Bilan des enchéres:
La période d'enchére à été pauvre en recrutement, Hermi a fait l'impasse. Toutefois, notons certaines baisses de salaires (Neuman réduit au minimum) et l'épure des élements faibles (Williams Rhode est redevenu amateur) ou trop vieux (Vasconcelos est devenu jeune retraité).
Se rajoute toutefois un jeune amateur, Fossela, au prix minimum. Si son evolution est correcte il pourra faireun bon remplacant.
Quel effectif ?
Le Blitz est représenté par deux éléments moteurs, De Jong et Goldman. Herminator devrait faire jouer de plus en plus Goldman en pointe. De Jong devrait lui se renforcer en greffes (jambières)
Les Maraudeurs de qualité sont peu nombreux. Il n'y a que le capitaine Katika. Pour l'épauler, il y a le vétéran Kotelidas et le meilleur passeur décisif 2108, le vieillissant Springett enfin le décevant Neuman. A intervales réguliers jouerons Organero et Athala, qui font preuves de grande qualités mémorielles.
Le bloc défensif quant à lui doit oeuvrer avec sa jeunesse autour de Newby Neves. Les jeunes Badcock, Baggo, Despines vont avoir du pain sur la planche.
Enfin, la reléve suit doucement. Dans quelques semaines devraient sortir deux jeunes prometteurs.
Finances ?
Point positif, les droits holo dépassent largement le Salcap des bulls limité à 30.000 crédits. Il va être possible d'investir :
Mot d'ordre des investissment, rattraper le retard. Les Bulls maitrisent 29 technologies, 3 à 4 Technologies doivent se rajouter, des techniques de combats aux drogues. La recherche Cybernétique sera peut-etre un peu plus calme vu le trés gros investissement de 2108.
Objectif ?
Hermi est toujours trés motivé. Il va falloir savoir exploiter le savoir-faire des joueurs actuels. Il va également falloir commencer à remplir le tiroir caisse. En fin d'année au plus tard un gros contrat doit rentrer.
Se maintenir ou mourrir.
Mais ils sont où nos autrichiens ?
Voilà une question que la rédaction du Fanzone s'est posée, en l'absence de fédération officielle autrichienne.
Notre enquête nous a mené au coeur du poitevin, une région arride et vide, où seules deux bourgages font encore bonne figure, en autre grâce à un eternel festival de dessins. Il va de soi que l'Ultraball semble leur porter bonheur.
Et oui, selon notre enquête, pas moins de la moitié du Team Red Bulls Austria vit ou survit à l'Ultraball dans cette région tellement platte, qu'ils n'ont pas même un opidum, a peine des cailloux en guise d'ultimes montagnes.
Pour preuve:
Les routiniers Eduard Winiwarter le sage et Robert Sageder, le jeune premier Hans-Jürgen Wendl, qui vit entre Poitiers et son nouvel employeur, et Gunther Kary qui commence à faire ses armes ; tout ce beau monde fait la magie des Magelis. A se demander si les supporteurs ne devrait pas apprendre la langue de Goethe et apprendre à mieux apprécier la musique de Mozard !
La terre de France accueille également Gerhard Kary, le grand frére de Gunther, qui adore le parfum de l'Atlantique, et Christian Saller, le tyrolien d'innsbruck, parti deux saison dans la "Partnerstadt" Grenoble, suite à un échange universitaire, avant d'aller goûter à la moutarde bourguignonne.
Jakob Schonauer, le viennois, joue à Rejkjavik, mais a été formé à la brutalité gironde de Salleboeuf; Karl Fraczyk lui n'a pas connu la terre des gastronomes, il à préféré le froid des Oscillators; Gregor Holaszek, un ami d'enfance de Christian Saller a connu la Fun Tim avant de devenir un Taulard de Free Prison. Enfin, nous avons découvert qu'un certain Alfred Ilinger s'est essayé au Ultraball chez les Allemands d'Orana Chaos.
Conclusion, les autrichiens aiment bien la France. Prochainement, nous menerons une petite enquête sur la jeunesse autrichienne dans les centres de formation.
- Amadeus Wolfgang -
Les Bulls autrichiens se rebiffent, voilà ce que l'on peut dire après le match de dimanche.
L'adversaire du jour est une bonne connaissance de cette saison, puisque le CODEX se rendait une nouvelle fois vidans l'antre du Ultraball autrichien, la Metropolitan Arena.
Rappelons les faits - Journée 3 - les Bulls accrochaient leur premiére victoire en Silver face à Santiago, une victoire à l'arrachée 10-5, grâce à De Jong et Goldman.
Dimanche, devant un stade à moitier plein, à peine 5203 spectateurs, certainement l'un des plus mauvais score, quand on connait le public viennois, nous sentons bien que le jeu autichien est plus sûr et plus mature, mais il manque encore beaucoup.
L'attaque est restée un peu fébrile, mais pas plus qu'un quart-temps :
D'entrée de match, King of Sex, certainement plus enclin à penser à sa nouvelle petite-amie oublie de passer le boulet et se fait minablement sacker. En bon routinier, celui-ci récupéra le coup et Leo De Jong ira finir le boulot sur le fil mais avec une infinie précision et justesse.
De Jong répétera la mise une deuxiéme fois. En attendant, sur cette deuxiéme phase d'attaque viennoise, Codex montre une autre image, monte au corps-à-corps et cherche visiblement à assoupir les adversaires. Springett, encore lui, au lieu de se demander que faire, alors que ses coéquipiers sont bloqués devant, se lance dans un coup de maitre. Esquivant son adversaire direct, il fini par lâcher sa boule fétiche au pieds de De Jong qui foncera enfoncer le clou.
La défense à été bien construite et semblait en bonne forme physique, grâce à Vasconcelos et Neves, opposés à l'ex Juge berlinois Cotter, dont la réussite laisse parfois à desirer.
Sur le 4eme QT d'ailleurs, Cotter a été plus fort que Neves et inscrit 5 points pour l'honneur. Sur le 2éme QT, CODEX n'a pas trouvé la faille. Le public autrichien hurle de vive-voix pour soutenir ses gladiateurs. Même à demi-plein, l'aréne résonne autant que pleine. Springett, en pensant certainement toujours à sa petite amie, a finalement réservé un peu d'energie à quelque coquinerie de derriére les fagots. D'une contre-attaque inattendue, il va inscrire un deuxiéme but.
Les Bulls se sont donc améliorés face aux chiliens. Score fleuve de 15-5, ca faisait longtemps! Nous retiendrons que les Bulls peuvent respirer un peu, quittant le fond du classement et s'ouvrant même une porte vers la remontée. Il faudra d'abord assurer face aux indiens.
Note d'intérêt du match : 1303. Une bonne performance donc (la troisiéme à l'indice de cette journée de Silver).
ILS ONT DITS:
Hermi: Restons zens, restons zens, ... J'ai une séance de Yoga à préparer, tschüss !
De Jong: Une trés bonne partie et le Codex me porte chance ! Je crois que j'ai un bon feeling dans les veines en ce moment. Et puis ca fait du bien au classement.
J. Neves: Oh oui c'est bon ! Vivement dimanche prochain, on va leur casser la gueule. Dommage que Torres-Lopez, n'ait pas été selectionné un quart-temps de plus, je te me l'aurais fait, ... il pissait bien le sang le com. Une pitchenette de plus et hop à la civière ah ah !
Sarioglu: et bien, vous voyez bien, il faut tenir et perséverer. Et merci au public, rare dans les tribunes, mais eux savent nous soutenir. Il reste malgré tout encore bien des progrés à faire mais le retard technique se ratrappe vite ces derniers temps. Nous devrions arriver à nos fins prochainement.