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Land des Blauen Stieres - Wiener Metro Hard Bulls Fanzone - Page 3

  • Souvenez-vous ?

     

    Souvenez-vous du temps ou certaines chroniques ultraballesque et certaines  émissions étaient attendues comme le messie ou du Saint Nectaire sur un plateau d'argent?

     

    Les plus récentes, "Les Divas d'Iva", "10 questions pour un champion". Mais qui se souvient de "Lunettes Noires pour Saison Blanche", "100% Ultraball", "Powerball", "Il Pousal le Sage" ?

     

    Il était une fois un gars dans le vent, qui répondait du nom de Duke J Sun. Il créa un format d'émission original, dont le support était la Chatroom. Quelques émissions ont été présentée, du reste, culte aujourd'hui, mais dont les copies podcast semblent avoir complètement disparues de la circulation. OOOh ces émissions remontent à Mathusalem, à quelque part entre 2099 et 2102.

     

    Assis sur sa chaise, à l'ombre des palétuviers, surgit soudain une idée folle de l'imagination féroce de votre serviteur. Au lieu de raconter des bobards et autres turpitudes déliro-tragico-comiques sur la Chatroom les soirées de match, pourquoi ne pas rendre au média ses qualités intrinsèques ? C'est-a-dire de diffuser de l'information, de la culture et du divertissement ? Le Chatroom ne devait plus être un support uniquement dédié aux discussions de couloir, mais une à deux fois dans le mois, donner la parole à un invité de marque. Le Chatroom devait devenir une Guestroom!

     

    Puis un beau jour, l'émission s'arrêta pour de mystérieuses raisons. On parle d'invités inintéressants ou inintéréssés, de mauvaises interviews, des co-animateurs et un public qui participaient de moins en moins. Comme toujours, toujours la faute à l'audimat (ne devrait-on pas dire, de nos jours, holomat ?) Puis un beau jour, le chatroom disparut complément pour des raisons encore plus obscures, ainsi que de nombreux coachs et franchises.

     

    Cependant, après tant d'année d'inertie, Grâces aux nouvelles technologies et la ferme volonté de nombreux passionnés, une nouvelle Chatroom a vu le jour !

     

    Votre serviteur, assis sur sa chaise, à l'ombre des palétuviers, soudain eu une nouvelle idée de génie! En coopération avec  FM5, Soundpark, nous rappelons sur Holofréquence 12685,25Mhz,  il va relancer son émission phare, Ultraball Guest Room !

     

    Prochainement sur vos ondes, alors,

     

    Avis aux amateurs !

     

     

     

    Votre serviteur, Herminator.



    Pour vous mettre l'eau à la bouche, voici l'intégralité podcastée de la toute première UBGR, avec  Mr Light.


     UBGR Mr Light.doc

     

     

  • Une Golden en roue libre ou la theorie des cycles

     

    "I'am singing in the rain,...

     

    just singing in the rain...

     

    la la lalala

     

    la la lalala"

     

     

     

    Voilà ce qu'on entendu au fond du couloir du 2eme étage du bureau des Hard Bulls. Visiblement, pendant que certains chantent, d'autres déchantent. 4 défaites consécutives suivi d'un 1 nul et de deux victoires chanceuses. Des joueurs en fin de cycle qu'il faudrait recycler. Aucun souffle nouveau ne vient du numéro 72 en face du stade, siège du centre de formation.

     

    Durant l'entre-saison, les vétérans ont montré qu'ils étaient mieux armés que nos gladiateurs actuels, même si leur coupe a montré sur la fin un certain seuil de fébrilité et surtout de lassitude. Tiens c'est peut-être là que le bât blesse. La réponse est simple, la franchise des Bulls est en fin de cycle. Vous allez dire, la franchise n'est pas encore reléguée. Oui tant mieux, grâce à des choix tactiques classiques, contre des équipes plus faibles ou à défaut dont le jeu est tout aussi formaté que celui des Bulls.

     

    Stratégiquement et tactiquement, les gladiateurs et l'entraineur Buhert piétinent. La franchise a ordonné en début de saison un changement radical de son jeu. Sauf que, ce n'est pas rentré dans leurs cerveaux. A quand des Raging Bulls, nom d'une bouse ?! Virez-nous ces vieux schnoques, changez-moi d'entraîneur et travaillez un peu vos stratégies. Voilà ce qu'aujourd`hui chantent les supporteurs, voilà pourquoi ils boycottent les tribunes. Une cure de jouvence serait plus que nécessaire. Du sang nouveau serait le bien venu aussi. Et puis un nouvel entraîneur aussi.

     

    Les Bulls sont à nouveau en fin de cycle. Premier cycle, celui de la génération Fé Bunga (premier titre), deuxième cycle, l'ère Goldman-De Jong, fort moyen du reste. Le troisième cycle, fût, selon un théorème chinois, « un long chemin en avant semé d’embûches nauséabondes », avec l'ascension de Mario Baroux, le blitzeur le plus prolifique des Bulls, a qui ne manquera qu'un titre. Le quatrième cycle est plus court. Construit sur des bases solides, il est mené par Friedrich Hohenrainer, dont l'apogée est digne d'un roman,  "20 ans après" (A. Dumas). Néanmoins, la chute est terrible. Il n’y a plus personne. Le fond n’est plus que lie. Il est donc fort a parier que le prochain cycle sera ascendant et que au plus tard dans deux saisons, les Bulls auront fort a faire en Silver.

     

    Il ne manque plus qu'à l'équipe de trouver les moyens de ses ambitions. La seule chose qui semble aujourd'hui ascendante est le compte en banque de la Franchise. Ce n'est pas dur de trouver ou investir, nom d'une bouse !? Remarquez, comme dirait un normand, « p'têt ben que si ».

     

  • Les tirailleurs sénégalais font leur show

    le tournoi des vétérans fait son plein et cela aurait été dommage que d'autres anciens ne cherchent pas à profiter de cette belle publicité. Enfin, les voilà! Berlin Est et Milwaukee n'ont plus hésités longtemps et entrent enfin en jeu.

    En attendant, Austin Ekeji préparait a coacher Sadagian, Van de Waart et les Keepers face aux anciens taureaux. Herminator a proposé d'innover et Bunga a fait une entrée magnifique devant ses fans d'autrefois. Visiblement les autrichiens ont fait le déplacement mais aussi toute la tribu Bunga. Puis avec l'arrivée sur le terrain de Katika, ce sont aussi les locaux qui se sont mis a applaudir le vétéran viennois qui, ne l'oublions pas, a été formé a Zinguinchor. 

    A l’applaudimètre, il n'y a pas photo, les autrichiens ne peuvent être plus fort que les Keepers, dans une IpipAgora toute dévouée. A tel point, que l'arbitre a dû retarder de 10 minutes le début du match, afin que les joueurs des deux camps puissent admirer la Ola et les animations colorées jouées depuis les tribunes.

    Le match quant à lui n'était qu'un délice et me rappelait la Thieboudienne que ma Gros mémé me préparait et que toute les gros mémés et mamans d'ici savent préparer.

    Les sénégalais font leurs show, face à des Bulls vraiment bien dans leur peaux, mais très timides. Sadegian et Morsi ouvrent le score sur bonus. Puis soudain, porté par le peuple africain, Fé Bunga se retrouve dans une position favorable. Le but étant bloqué, il préfère le bonus. Marquant son point avec prestige, il lève son index droit vers le ciel en guise de dédicace. On connaissait les sénégalais bon tirailleurs, et a la proie quadrupède facile à rôtir. Van de Vaart, change son fusil d'épaule et assassine Alexandre Maya d'un uppercut terrible. Les Keepers mènent au score. Heureusement Amorim cherche le contre, attrape la balle en vol pour inscrire un bien joli but. Au Final, emmené par Supermario, les Oxes se déchainent. C'est Mario qui fait la différence et permet aux Viennois  d'accrocher une belle victoire de prestige... C'est pas demain la veille que les Hard Bulls battrons les fanstastiques Zinguinchor en ligue.

    A la fin du match, un spectacle son et lumière a enthousiasmé la foule, ainsi que des combats de coq.
    Et si seulement ce courage et cette ténacité des vétérans insufflaient un excès d'orgueil aux jeunes... nos Hard Bulls pourraient se maintenir en Platinium.

     

    De notre correspondant aux Sénégal Mousse Bakayoko-Gruber

  • Die Goldenen Ochsen

    C'est sous cette appelation pour le moins originales que se présentent d'anciennes gloirent bedonnantes ou encore très en forme des Hard Bulls:


    Martin Rauchegger, 32 ans
    "Supermario" Mario Baroux, 33 ans
    Reinhard Lindner, 32 ans
    Jean Amorim, 32 ans
    Jürgen Strobl, 36 ans
    Benjamin Seher, 36 ans
    Alexandre Maya, 38 ans
    Günther Kary, 38 ans
    Isidore Katika, 41 ans
    Fé "King of Bongo" Bunga, 45 ans
    Bartlomiej Malesa, 46 ans
    Leo De Jong 41 ans

    Bunga, Malesa, ne vous rappellent-ils rien ? Mais bien sûr que si, 2104 et le titre de champion, que 20 ans plus tard les gamins d'hier renouvellaient. Katika, Amorim, Baroux, Maya... que de bons souvenirs et des galdiateurs pour certains franchement en forme et pour d'autred portant leur embonpoint comme ils portaient les points dans le temps.


    Et on ne peux pas dire que les fans, les groopies, les jeunes, les moins jeunes et tous les autres vétérans de la Metropolitan Arena ne s'en donnent pas à coeur joie. L'événement créé par Patou Schminoosh, gloire ultraplanétaire de l'Ultraball n'est rien qu'une fête gigantesque et ultrapopulaire, de Moscou à Kilmarnoch, en passant par Bamako, Paris, Beyrouth ou Kiev, les foules sont en liesse.


    Autour de l'arène viennoise, on y retrouve une grande braderie d'articles dédiés à l'UB, des objets kitsches, des icones, des articles de collection, des photos. Bien evidemment la bière, le snaps, le bon vin coulent a flot. Les gamins échangent leurs paninis actuels et leurs papas finissent ceux des collections vielles de parfois plus de 20 ans !

    Quant aux matchs, ils sont a l'image des Hard Bulls ramolis que sont les Ochsen germaniques,... Oxes anglais,... ou boeufs, en francais. D'ailleurs, voilà pourquoi Alec Springett, ancien pillier des Bulls et des bistrots, collectionneurs de scandales et de belle blondes plantureuses n'a pas accepté l'invitation. Imaginez, il ne voulait pas apparaitre sous l'étiquette taureau castré (boeuf). N'empêche qu'il assiste amusé aux matchs, et sa bedaine attire toujours encore la presse people et les blondes plantureuses.

    On a vu au dernier match, une equipe bien en peine contre les Atomes. Uranyum Buhert a fait ce qu'il a pu en vestiare pour encourager Baroux et les siens, mais la chimie n'a pas fonctionné, il n'avait pas la bonne formulation.
    Demain, ce sont des souvenirs bretons qui vont rivaliser contre les Bulls. Voila de quoi redonner des ardeurs aux Bulls, qui n'oublierons pas qu'a cause de ces même rennais, ils ont ratés des montées, des titres et subit des relegations. Mais aussi que certaines des victoires les plus importantes ont été joués contre ces Oursons.

    Que la fête continue dans toute sa splendeur !