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Land des Blauen Stieres - Wiener Metro Hard Bulls Fanzone - Page 7

  • Milan s'amuse... En avant Vienne

    Alors que les Hard Bulls sortaient victorieux du défi écossais, ils s'attendaient à défier les joyeux milanais. Or surprise! Ils ne sont pas inscrits. Troublés les autrichiens doivent affronter les titanesques québéquois, ceux par qui le malheur arrive. Moscou s'envole donc vers la Platinium et surtout vers le titre que lorgnent les taureaux...

    Ce n'est que partie remise. Finalement la direction des Bulls n'a pas besoin de débourser grand chose. C'est un match imposé qui s'annonce et bien contre les Milanais.

    Pour s'assurer d'une place en Platinium, il faut que chacun des adversaires directs puissent être défaits. Si Moscou semble intouchable, les autres franchises sont largement à la portée des autrichiens. Au Crunch Stadium, il n'y avait foule. Au regard du match, c'est plutôt l'ennui qu'autre chose. Mais le plus important, la victoire est à bout de bras.

    Alors que les lombards optent pour une stratégie classique, les visiteurs organisent leur contre-attaque. Mario Baroux, aligné en défense, s'écarte du mol et poursuit avec entrain la balle. De l'autre côté, l'infanterie Impériale et Royale (Kaiserlich und Königlich) bloque la charge, menée par le chef Grenadier Rauchegger. Lindner se charge son compatriote Alfred Ilinger, si bien que le porteur de balle Ishizu, ne sachant plus qu'en faire, la transmet à Supermario qui fini le travail.

    Les visiteurs lancent leur attaque emmnée par un Baroux tout joyeux d'avoir pu marqué tantôt. Trop joyeux. Il est rudement plaqué et bloqué. Heureusement, Maguire parvient à s'extirper tant bien que mal du blocus et se dirige donc vers le but. Amorim tient sa sphère entre ses deux mains habiles et manoeuvre pour eviter le contreur adverse. Enfin un blitzeur est libre, il ajuste une case bonus. Magie noire ou pas de bol, la balle est déviée et interceptée par les adversaires. Un nouveau mol se crée. A moi la baballe! Non à moi! A ce jeu Ian Maguire se montre le plus malin et parvient à trouver le but. 10-0. A ce rythme là, Uranyum Buhert, pourtant si discrêt, explose de joie. Aprés la pause, il lâchera paraît-il à son patron Herminator un "C'est tout bon, on fini sur un 20 - 0".

    Cela aurait été trop beau. Chavrouze tente le tout pour le tout et lance un long rush mené par l'infatiguable Alfred Ilinger. Prise au piège, la défense adverse ne reviendra pas invaincue de la rencontre. Sur le banc, le staff à quand même le sourire au bout des lévres. 10 - 5

    Le dernier quart temps va donc être fatal aux italiens. D'abord, parce qu’ils se jettent dans la gueule du loup, laissant Baroux dévaler seul vers l'avant. Cependant, le staff viennois se ronge les ongles. Amorim a peur. Dans sa ligne de visée un mur de trois milanais, faisant face à trois blitzeur viennois... Et bien sûr pour pimenter le tout, Tommy Killermann n'arrive pas à mettre à terre sa contrepartie. Que Dieu Nous Garde doit-il murmurer... Tommy enfin couche son adversaire. Le champ est libre. Baroux peux se réjouir de réussir son fameux back and shoot. 16 - 5. Un score qui permet aux viennois de tenir leur podium.

    Il reste trois matchs à tenir et le prochain va être certainement le plus décisif : Les serpents indonésiens vont tenter de transformer les rives du beau Danube en jungle. Un match à suivre donc. Un match décisif.

     

    Christian Fuchs pour FM5.

  • Après Moscou, l'Ecosse

    Pas fou Moscou ! voilà un match qui avait du sens. Face à une franchise en deuxième position et client direct pour le titre ou la montée, les moscovites ont flanqué une belle raclée aux autrichiens. Bordel! Ils gagnent toujours ces russkoffs. La diplomatie FRU hurle à tue-tête qu'il tuerons le système. Choc! le drapeau rouge flotera-t-il sur le toit de la WBC?

    Les Viennois sont de minables nabots moqueurs. Ils sont faibles. Voilà ce que les supporteurs russes ont bien  voulu écrire dans leur presse puante le lendemain de leur victoire. Mais nous sommes toujours 4ème et comptons plus d'un tour dans leur sac. Mais avons-nous pris le bons sac ?

    M'enfin que se passe-t-il dans la tête du coach ? Aller défier Kilmarnock sur leurs terres ? les book-makers en ont déjà plein la bouche du massacre. comment une armée autrichienne peut-elle aller battre le talent de Tom Awake, la copie parfaite de William Wallace et Robert de Bruce réunis ?

    Mais la stratégie est bonne si le vainqueur est le visiteur. Car il élimine ainsi Kilmarnock du titre au profit des moscovites et il se remet dans la course. Car il le faut, sans quoi Djakarta ou Lisbonne passerons.

    L'ordre de bataille est lancé. les viennois defient les scots. Et puis les coach herminator et Awake se connaissent en privés. Il va de soit qu'à la différence de la bataille de Moscou, la campagne ecossaise finira dans le whisky (C'est bien meilleur que la vodka) et la bonne humeur.

  • Les Bulls et leur saison

     

    Il y a bien longtemps que les Bulls n'avaient revu la Golden, et celle-ci semble bien leur réussir a ce jour. Et la Golden 2117 semble bien passionnante même si aucune franchise ne sera reléguée. A y regarder de plus près, seuls Beyrouth et Thorsund font figures d'épouvantail par l'insolence de leur réussite. Derrière ça se bouscule. Varsovie et Cherbourg alignent 4  matchs victorieux suivi des viennois, Rennais, Moscovite et Ninjas, qui avec 3 victoires au compteur peuvent encore essayer de s'accrocher au TOP4. Nous nous passerons de pronostics trop avancés, mais Vienne et Rennes semblent les plus solides pour déloger les polonais et les aigles normands.

    Mais avant d'en dire plus, revenons sur la mi-saison viennoise avec pour entame une très grosse victoire sur des dijonais dont la franchise annonce son retrait (!) la sauce moutarde ne prend plus. Les fans sont là, mais le cœur n'y est plus.
    Ensuite la déception d'une stratégie hasardeuse face à Thorsund. Au vu du résultat sévère on se demande encore comment les norvégiens parviennent a un goal average actuellement négatif. le match suivant est encore un gros carton contre des Ninjas qui semblent fatigués. Cette deuxième victoire est importante, jamais les viennois n'on pu aligner plus de quatre victoires en Golden. Et plus les points arrivent tôt meilleurs sont les chances de tenir un rang de favori ! Mais les résultats restent en dents de scie. Big Looser justement montre ses dents et fait "mumuse" sur son terrain.

    Ces deux défaites face aux norvégiens puis aux américains doivent rester uniques. Voilà ce qui se marmonne dans les vestiaires. D'ailleurs les viennois se rassurèrent rapidement, avec un nul et une nouvelle victoire. Et de trois! Il faudra encore au moins deux victoires pour espérer atterrir dans le TOP4.

    Mais bientôt en face il y aura une bête. Un monstre atomique dont les annales poussiéreuses se souviennent. Quoi ? Vous ne connaissez pas Tom Roy, Fatih Sukur, Nunez Guzman et leurs numéros atomiques ? Et bien allez chercher du côté de Beyrouth. Parce que dans cette franchise là, on ne badine pas, on ne fait pas dans la dentelle. On fonce tête baissé et que si je t'attrape, je te tue. C'est une centrale a gaz. Enfin non, pas vraiment, plutôt une centrale atomique, mais c'est l'expression qui est comme ca, c'est façon de parler. Beyrouth façonne les champions et Beyrouth c’est du genre très explosif sur touts les plans. Ils se sont même remis à rebaptiser leurs stars du nom d'un atome. C'est bon signe. Pas pour leur adversaires, mais pour eux et leur coach au nom bizarre... Gwty,. Appelez-le Gwen c'est plus simple, quoique.  Donc disais-je, Striani - le Paladin - devient Palladyum et j'en passe.

    Le match va être préparé avec soin. Les fans s'attendent a une grosse pression aussi bien sur les Bulls que sur les Superstars. Face à face Baroux et Striani. Ils se valent. Et puis il y a Nasr et Farokhi. Est-ce que Borja Navarrente et Lindner seront tout aussi bon défensivement ?

    Les Viennois ne veulent pas perdre. la victoire donnera un ascendant psychologique certain sur la fin du championnat. Ils cartonnent et ils veulent continuer. les viennois sont portés par leur meneur SuperMario Baroux. 10 ans après, les Viennois ont leur nouveau "King of Bongo" et plus de maturité. 

    Que le meilleur gagne ! Mais surtout les viennois !

    Markus Fuchs pour FM5 - Die Hit Radio.

  • Les nippons mauvais, les Bulls déboulent

    Ce soir, dans un très beau stadium, plein à craquer - décidément les Bulls attirent les foules - les Viennois ont fait une bonne impression et ont pu dérouler un très beau jeu, certainement celui qui obtient actuellement les plus belles notes de la Golden 2117, la preuve, les bookmakers ne s'y sont point trompés, la note est de 1357 au terme du spectacle.

    Mais que de spectacle ! Les spectateurs japonais et surtout japonaises n'avaient d'yeux que pour Mario Baroux, face à un Katana Ukai bon mais plus terne que d'habitude. Ce n'ai pas pour déplaire à Supermario, qui en quittant les vestiaires s'est résigner à signer aux lolitas en jupettes et autres jeunes fans les autographes. Mario a même failli rater le bus qui emmenait ce soir les autrichiens vers les Amériques (prochaine étape Looser Town).

    Revenons-en aux faits d'armes. Faces à des Ninjas dont les viennois connaissaient si peu, c'est une équipe traditionnelle qui se présente sur le terrain. Notons toutefois l'arrivée d’Ulrich Tarrasch pour son premier match officiel aux couleurs viennoises et surtout la décision inadmissible des arbitres, qui ont refusé le terrain à Günther Kary. Contrairement à certains, nous ne polémiquerons pas sur cette décision, mais nous n'exagérerons pas en annonçant que les arbitres ont certainement été corrompu.

    Même sans Kary, la défense déroule et se permet de stopper "Katana" Ukai forçant Winckler à placer une balle en direction d'un Takeba maladroit. Un quart-temps sans encaisser de points est toujours un bon signe. Et effectivement, les visiteurs prennent l'avantage à temps de jeu suivant.

    Les actions ont été mûrement réfléchies. Les Viennois adoptent un jeu sans fioritures, Baroux se détache, Amorim tiens la boule de fer solidement entre ses mains et O miracle, les taureaux montent au front toutes cornes pointées vers l'avant! Du pain béni pour les routiniers que sont Bataller et son coup de boule et Lindner et ses frappes incisives. Le pauvre Shodo en prendra des coups, il ne manque pas beaucoup, peut-être Borja Navarrante pour finir le travail dans un bain de sang. Le public hurle de joie, il voulait les oreilles et la queue de la bête autrichienne, finalement le sang coule au pays du soleil levant.

    Le troisième quart-temps est plus ennuyeux, Ukai réussi finalement à se détacher pour inscrire un bien joli but, c'est vrai. Sur cette action la présence de Kary aurait peut-être donné un avant goût de victoire plus tranchée.

    Enfin, Baroux reprends son poste fétiche. Il inscrira six points bien mérités qui terminent un match sur une belle victoire. Ainsi les Taureaux entrent au quart de la saison dans le quatre de tête. Les équipes aux avant-postes sont pourtant nombreuses pour dire avec certitude que ça sent la Platinium. Mais du beau monde pointe son nez: les Thortues prennent la tête du groupe grâce à une belle série depuis la défaite autrichienne. Rennes et Beyrouth, marquent des points précis, tandis que Varsovie et Moscou mettent à mal leur union sacrée. (Ost Berlin sauve l'honneur en Platinium). Et de notre avis, c'est parmi les huit premiers actuels que se trouvent les futurs gradés.

    A bientôt ! Long live the Bulls ! Ja wir schaffen's !